Essai 2 : contrepied de l’essai 1 de http://julienwatine.wordpress.com/

Voici déjà la dernière publication du présent blogue. Dans cette publication, il sera question de la télévision hertzienne. Un moyen de communication abordé par un collègue qui a présenté la télévision du point de vue des journalistes. Dans cet essai, le point de vue sera différent. Je vous démontrerai que mon collègue a raison en parlant de l’importance de la télé comme média dans la pratique du journalisme, mais il omet l’importance du point de vue des publicitaires. Ensuite, je vous montrerai comment la télévision peut servir d’outil à la publicité et finalement, il sera question d’un excellent exemple de l’utilisation de ce média avec une campagne que vous vous rappellerez surement. Voici donc, avant de lire ma publication, l’adresse de l’article auquel je ferai allusion.

Après avoir lu ce texte vous serez aptes à comprendre la critique que j’en ai fait.

Mon collègue présente la télévision et son histoire pour mieux nous faire comprendre quel rôle elle joue dans la communication publique. Il adopte ce média comme étant un excellent outil de communication pour les journalistes. <<La télévision est ainsi, plus qu’une simple forme de communication, un véritable acteur participant à la vie citoyenne. On comprend comment, du point de vue des principaux métiers de la communication (…) elle se révèle être un outil puissant. >> (Watine : 2012)Mon collègue prouve la qualité journalistique, en citant l’exemple de l’attentat terroriste du 11 septembre 2011, pour démontrer la pertinence de la télévision hertzienne comme canal. Il explique comment, grâce à des images que la télévision nous fait voir, les images de cet acte qui fut dévastateur pour tout le monde en occident. Par le biais des images, nous pouvions sentir la terreur et la tristesse que les gens sur place sentaient. Ce qui n’aurait pas été le cas par le biais d’un autre média tels que la radio ou les journaux. Parce que les deux ne sont pas aptes à montrer l’ensemble du son et de l’image simultanément. Ce que la télévision peut faire.

Loin de moi l’idée de détruire les arguments de mon collègue. En fait, j’abonde dans le même sens que lui en disant que la télévision est un excellent média. La télévision est un moyen de communication extrêmement efficace. La qualité de plus en plus grandiose des images fait que le message est de mieux en mieux perçu. La technologie 3D qui s’ajoute de plus en plus permettra de communiquer par des images encore plus complexes. Peut-être aurons-nous d’ici peu des bulletins de nouvelles diffusés complètement en trois dimensions. Nous permettant de vivre pleinement les images. Nous faisant pénétrer dans l’esprit de guerre que vivre plusieurs millions d’êtres humains, chaque jour. Faisant réalisé aux enfants occidentaux la chance qu’ils ont de vivre dans un pays comme le leur. Ainsi, l’esprit de communication par l’image sera devenu incroyablement puissant. Quel contraste avec la grosse télévision noir et blanc encastrer dans un meuble avec les oreilles de lapin que nos grands-parents possédaient! Alors en ce sens, je vais de pair avec mon collègue. La télévision est un média puissant qui communique plus que de l’information au récepteur du message diffusé. Il transmet du vécu puisque nous vivons l’action. Le seul hic c’est que souvent on utilise la télévision pour diffuser de l’information de façon négative. Les journalistes utilisent cette plate-forme de manière à attirer le public et qu’est-ce qui attire le public? C’est l’action, l’extravagant, le sublime. << D’une journée de guerre en Palestine ou en Serbie, on ne montra plus que l’exécution sommaire de l’un des antagonistes ou le « carton plein » d’un tireur anonyme. D’une manifestation, on ne vit pas tant les revendications que les barricades brulantes et la dispersion violente par les forces de l’ordre… le contenu émotionnel prima systématiquement sur la teneur rationnelle et l’explication objective des faits… >> (Courbet, Fourquet : 2003 : p. 174)

Mon collègue, Julien Watine, effleure le rôle de la publicité dans son essai, mais il laisse place à développement. Je vais donc utiliser ce manque afin de développer mes propos. Car à mon avis la télévision est un, sinon le meilleur média pour la publicité. La publicité est un domaine complexe et qui est en constante évolution. Qui sait quelle plate forme elle prendra demain? Une chose certaine c’est que ces dernières années et aujourd’hui encore la télé est un média de choix pour ceux qui veulent y présenter de la publicité.

La télévision est le média qui influence le plus les gens en ce qui attrait la publicité.

La télévision est le média qui influence le plus les gens en ce qui attrait la publicité.

<<Média par excellence, la télévision permet à la fois l’image (animée et en couleur en plus!) et le son. Parce qu’il s’approche du réel, ce média est le plus persuasif. Au Québec, la recherche a montré que, si l’on demande à des gens de citer un message publicitaire intéressant, 90 % d’entre eux citerons un message télé.>> (Cossette, Massey : 2002 : p. 194) Pouvant combiner image et son, elle nous offre de multiples possibilités de créativité. La publicité à la télévision est extrêmement efficace, et si on veut qu’elle soit efficace, elle doit passer plusieurs étapes de contrôle. Il faut que le créatif publicitaire imagine une publicité qui sera différente de celle qui sera diffusée à la radio, dans les journaux ou même sur les affiches. Il faut faire vivre l’image pour attirer l’attention du téléspectateur. Pour ainsi éviter qu’il <<zappe>> et qu’il change de poste. Comme je l’ai mentionné précédemment, la télévision en trois dimensions élargit le nombre de possibilités pour le créatif qui peut trouver de nouvelle façon de rejoindre le public.

Avec le public de plus en plus large qui regarde la télévision les publicitaire se doivent de ciblé de mieux en mieux leur public.

Avec le public de plus en plus large qui regarde la télévision les publicitaires se doivent de ciblé de mieux en mieux leur public.

La télévision rejoint un grand nombre de personne et en publicité, le but et de rejoindre le plus grand nombre de personnes. Mais attention! Il ne faut pas négliger la quantité à la qualité. Ce qui était jadis le cas, lorsque la télévision spécialisée n’était pas très connue et écoutée. Aujourd’hui, avec les centaines de postes de télévision spécialisés il est plus facile de rejoindre notre public cible. Il suffit de bien cibler leurs habitudes d’écoutes et le tour est presque joué. Évidemment, ici on parle de télévision hertzienne et donc les chaînes spécialisées sont accessibles uniquement si elles sont reçues via une coupole et non par voies filaires (télévision par câble). De plus, la télévision jouit d’un prestige non égalé dans les autres médias. Ce qui n’est pas le cas lorsqu’on veut communiquer dans le cadre des autres professions de la communication. Évidemment, la télé reste prestigieuse, mais les communiqués pour un relationniste se font par courriel ou par SMS, maintenant. Aussi, les journaux pour les journalistes auront toujours une plus value comparer à la télévision puisque c’est le média d’origine et que si on veut avoir les suppléments d’information on devra lire le journal, car dans les bulletins d’information télévisés, on ne dira que les grandes lignes pour accaparé l’auditoire et ne pas le lasser.

La télévision présente quelques désavantages. C’est un média qui coûte cher pour y présenter de la publicité surtout pour l’effet qu’elle apportera. Aussi, les messages sont très courts et on doit entrer le plus d’information dans un minimum de temps sans saturer le téléspectateur. Finalement, le nombre de publicités télévisé est extrêmement élevé et les gens qui écoutent la télé prêtent de moins en moins attention aux pubs. Alors c’est un bon média certes, mais si on sait l’utiliser à bon escient. << La télévision est le média qui accapare la plus grande part du marché des investissements publicitaires, toutes catégories confondues, soit quelques 25 % de toutes les dépenses.>> (Dagenais : 2008 : p. 341)

Publicité de Bell en 2006 qui démontre que la télévision est un excellent canal

Les publicités de Bell qui mettent en scène les deux castors Jules et Bertrand sont un bon exemple de la publicité à la télévision. Cette campagne à eu lieu en 2006, durant les Jeux olympiques de Turin et s’est étalée jusqu’en 2008. Cette publicité créée par Cossette Communication, a été une des campagnes les plus populaires au Québec, en tous les cas c’est les propos qu’affirme le porte-parole de Bell lors d’une entrevue à la chaîne CBC : << It’s been a blast! Nature is calling and we have been invited back to the forest to become teachers for a whole new generation.>> (Nowak : 2008)

On utilise la télévision hertzienne de bonne façon en utilisant des personnages à l’allure attrayante et adorable pour modeler une image de compagnie à cet effet.

En conclusion, projetons-nous dans l’avenir. Comment les communicateurs pourront-ils réinventer des façons d’utiliser la télévision hertzienne? Ce mode de transmission télévisuel tire à sa fin puisque la fibre optique et la câblodistribution sont de plus en plus présentes de nos jours. La télévision hertzienne semble être de plus en plus délaissée. Je ne sais pas si on peut penser que c’est une fausse alarme comme la disparition des journaux en format papier il y a quelques années, ou si cela tend vers une véritable extinction. Chose certaine, il faudra trouver une façon plus divertissante puisque le web devient extrêmement envahissant et que l’interactivité prend une place de plus en plus grandissante dans les médias d’aujourd’hui.

Bibliographie

Cossette. Claude, Massey. Nicolas, Comment faire sa publicité soi-même, Montréal, Les Éditions Transcontinental, 2002, 347 p.

Courbet. Didier, Fourquet. Marie pierre, La télévision et ses Influences, Paris, Édition de Boeck Université, 2003, 125 p.

Dagenais. Bernard, La publicité : Stratégie et placement média, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 2008, 546 p.

MediaWatchQc, 2006, dailymotion web site, << 11 premières pub de castor de Bell>> (En ligne) URL http://www.dailymotion.com/video/xoe0o_11-premiere-pub-de-castor-de-bell_news. (Page consultée le 28 novembre 2012)

Nowak. Peter, 2008, CBC web site, << Bell’s beavers bite it>> (En ligne) URL : http://www.cbc.ca/news/technology/story/2008/08/01/tech-bell.html. (Page consultée le 28 novembre 2012)

Watine. Julien,2012, Blogspot web site, << Essai #1 La télévision hertzienne comme vecteur de communication>>, (En ligne) URL : http://julienwatine.wordpress.com/2012/10/14/essai-1-la-television-hertzienne-comme-vecteur-de-communication/. (Page consultée le 28 novembre 2012)

La publicité à l’ère du numérique Billet 5 (semaine 12)

Le web est devenu une plate-forme de qualité pour les agences publicitaires qui veulent sortir de l’ordinaire. Ces agences, grâce au net, trouvent de nouvelles façons d’attirer l’attention de toute sorte de manières possibles, car avec cet outil il n’y a pas de limite si ce n’est que l’imagination humaine. Cette poussée de publicité interactive que l’on retrouve en ligne peut nous mener à se questionner sur l’avenir des publicités dans les médias traditionnels. Verrons-nous un déplacement de la dépense publicitaire d’ici quelques années? Les journaux et la radio seront-ils des véhicules publicitaires abandonnés? En mars 2012, 2,25 milliards de personnes étaient sur internet au travers le monde (Smith : 2012) ce qui fait un public assez vaste. Grâce à internet, on peut rejoindre des gens de partout sur la terre. Cette astuce la compagnie Office Max l’a compris. Office Max est une compagnie de fourniture de matériel électronique un peu à l’image de Bureau en gros ici au Québec. La compagnie a décidé, pour la période des fêtes 2006 (auteur inconnu : 2012), de créer un jeu interactif où l’on peut mettre notre face sur un lutin préréglé. On a juste à prendre une photo avec notre caméra web ou la télécharger à partir de Facebook et l’insérer sur un corps du lutin. Ainsi, la vidéo se créer tout seul et nous voyons le résultat. Ensuite, il est possible d’envoyer la vidéo à nos amis et à notre famille pour leur souhaiter de joyeuses fêtes.

 

En cliquant sur ce lien vous verrez un exemple d’un vidéo fait à partir de l’application ELF yourself créé par Office Max

Cette application à l’apparence banale est en fonction depuis 6 ans et elle est toujours aussi populaire. En ce moment, près de 500 millions de vidéos ont été personnalisés par des utilisateurs qui ont ajouté leur figure à ce corps de lutin. (auteur inconnu : 2012) Cette campagne publicitaire faite par Office Max a été un succès, mais pas à tous les points de vue. Vous aviez surement entendu parler, utilisé ou vu un de ces vidéos avant de lire ce texte, mais saviez-vous que c’était la compagnie Office Max qui la commanditait? C’est le problème des jeux interactifs commandité par les compagnies. Trop souvent les marques passent inaperçues si on les compare aux jeux qu’ils ont créés. Un problème que les publicitaires devront régler afin de peaufiner la qualité de leurs efforts publicitaires interactifs.

 

Voici le lien si vous voulez créer votre propre vidéo et le partager à l’approche des fêtes, amusez-vous!

elfyourself.com

Bibliographie

Auteur inconnu, 2012, AdWeek, << Elf Yourself refuses to die, as Office Max introduces Elf Yourself live>>, (en ligne) URL : http://www.adweek.com/adfreak/elfyourself-refuses-die-officemax-introduces-elfyourself-live-145389. (page consultée le 21 novembre 2012)

Smith. Julia, 2012, Fourth Source web site, <<Online Advertising getting technological>>, (en ligne) URL : http://www.fourthsource.com/online-advertising/online-advertising-getting-techno-logical-7370 (page consultée le 21 novembre 2012)

Les jeux vidéo Billet 4 (semaine 8)

L’univers virtuel nous permet de s’échapper dans un monde où l’on voudrait vivre. C’est souvent un endroit fantastique, mais qui a des bases réalistes. Certaines personnes peuvent passer plusieurs heures sur leur ordinateur ou console de jeu sans se rendre compte que le temps file. Au bout de cela, que nous reste-t-il? Dix pour cent des enfants dans le monde sont accroc aux jeux vidéo et passe plus de sept heures par jours devant un écran. (Zafar : 2010) Ces enfants passent environ 40 heures par semaine devant des écrans ce qui représente un emploi à temps plein. Évidemment, il y a un problème de surconsommation. Par contre, je crois que les jeux vidéo peuvent nous procurer un moment de détente et ils peuvent être bénéfiques. Que ce soit pour se divertir lors d’une soirée entre amis ou pour se changer les idées parce que nous sommes enfermés dans une solitude maussade lors d’une journée pluvieuse, les jeux vidéo créer un univers échappatoire pratique.

 

Pour ma part, je suis un partisan de la série Grand Theft Auto. Vous connaissez surement ce jeu qui nous présente un univers réel avec des personnages au physique réel. Vous incarnez un personnage qui se retrouve toujours au centre de litige mafieux. Vous pouvez vous déplacer comme bon vous semble dans différente mappe. En général, Rock Star Games, les créateurs de GTA, essaient de reproduire de façon réelle les villes qu’ils copient dans leur jeu. Ce monde nous permet donc d’expulser cette rage réprimée lors de la journée. Le soir vous arrivez de l’école ou du travail et vous êtes frustré parce que la journée s’est mal déroulée. Vous vous plongez dans ce faux univers aux allures réalistes sans conséquence réelles suite à vos actes. Vous pouvez créer des accidents, bousculer des piétons, achetez une arme à feu et vous en servir, etc. C’est un excellent exutoire pour défouler sa frustration, et ce sans blesser personne dans la vraie vie.

 

Je crois que ce genre de jeu empêche des gens de se défouler dans le monde réel. Au lieu de causer des accidents par un excès de rage dans le trafic sur une autoroute congestionnée, on attend d’être rendu à la maison pour se défouler dans ce monde fictif, mais qui nous parait si réel. Les réactions sont pratiquement semblables à celles de vrais humains. Ce qui permet donc de voir réagir les personnages à nos coups d’éclat sans les blesser ou les tuer réellement. C’est une façon civilisée de se défouler. Jamais je n’oserais blesser volontairement quelqu’un dans la vraie vie, mais parfois dans ces jeux, je peux y prendre gout, car je sais que ce n’est pas à un vrai être humain que je le fais subir.

 

À Winnipeg on a acheté une collection de jeux vidéo dans une prison pour divertir les prisonniers qui ont un bon comportement. Non seulement c’est un système de récompense pour les bons prisonniers, mais en plus c’est un défoulement pour eux. S’ils se défoulent dans les jeux vidéo, peut-être seront-ils plus passifs dans la vie de tous les jours? Ce sont des jeux comme NBA, GTA, Wii Fit sont disponibles. (King : 2012) Ces jeux leur donneront peut-être le goût de cesser leurs activités criminelles dans le monde réel et s’ils en ont vraiment besoin, ils pourront les transposer avec leur avatar dans un monde fictif. Bien sûr ceci est une utopie, mais il est toujours permis de rêver. Ce serait, je crois, le meilleur usage pour les jeux vidéo si cette utopie pouvait devenir réelle.

 

 

Bibliographie

 

King. Tamara, 2012, Winnipeg Sun web site, << Video games in jail baffles >>, (en ligne) URL : http://www.winnipegsun.com/2012/09/28/video-games-in-jail-baffles (page consultée le 25 octobre 2012)

 

Zaphar. Amina, 2010, CBC News web site, << Video game addiction : does it exist?>>, (en ligne) URL : http://www.cbc.ca/news/health/story/2010/09/13/f-videogames-addiction-health.html. (page consultée le 25 octobe 2012)

Wikipédia Billet 3 (semaine 7)

Wikipédia est une encyclopédie en ligne très pratique, mais il ne faut pas s’y fier comme unique source d’information. Bien qu’elle nous donne un portrait global d’un sujet, nous devons contre vérifier l’information qu’on y trouve. Que ce soit par le biais des liens qui sont insérés dans l’article et qui sont donnés comme source ou que ce soit en prenant une source externe qui serait plus fiable.

 

N’importe qui peut écrire sur Wikipédia. Évidemment, il y a une certaine gestion qui est faite, les créateurs de ce Wiki site optent pour l’autorégulation de ce site. Ce qui veut dire qu’on laisse majoritaire au bon jugement de ceux qui y contribuent pour y insérer des articles fiables et objectifs. J’ai déjà contribué à un article sur Wikipédia. La page de Salvador Dali comportait quelques erreurs et n’était pas très détaillée lorsqu’il était question de son enfance. J’ai donc, grâce à un livre biographique, corrigé et ajouté des informations. Une semaine plus tard, je suis retourné voir mes modifications et curieusement on avait supprimé ce que j’avais ajouté et pourtant j’y avais inclus mes sources qui étaient fiables. Ce que j’avais écrit était textuellement ce qu’on retrouvait dans le livre biographique de Dali. Que s’était-il passé? Pourquoi avait-on supprimé ma contribution? Je n’en avais aucune idée. C’est là une veille excessive peut-être ou alors celui qui gérait cette page n’aimait peut-être pas ce que j’avais ajouté. En tous les cas, on ne voulait pas que ma modification apparaisse.

 

La veille qui est faite sur ce site m’a alors paru un peu excessive pour ceux qui veulent y contribuer pour la première fois. On ne laisse pas la chance à quelqu’un d’anonyme de se faire connaitre. Ce que je trouve déplorable c’est qu’on ne considère pas les auteurs sans source, mais dont les dires sont vérifiables. Beaucoup de gens ont tout simplement observé des comportements ou des situations et par la suite ils ont pu faire des corrélations. En fait, c’est ainsi qu’une bonne partie d’entre nous a pris des connaissances du monde extérieur. C’est en faisant des expériences, en observant et en essayant que nous avons appris. Ce n’est pas nécessairement en lisant des livres ou des articles de journaux.

 

À quoi sert-il d’être documenté? Comme il est dit dans l’article du New York Times intitulé << When knowledge isn’t written, does it still cunt >> écrit par Noam Cohen : << la connaissance du peuple c’est de là que vient toutes les définitions. >> Même chose pour les références, si nous écrivons un fait, nous avons besoin dune source. Alors on interview des gens qui nous dises exactement ce que nous pensions et alors nous avons une source documentée. Alors que si ces gens avaient écrit eux même le travail et n’avaient pas mis une autre source que leur propre pensée alors on aurait considéré les dires comme non appuyés. Aussi on dit que pour être une bonne source un auteur doit au moins avoir un bon niveau de scolarité. <<A source is more credible if written by someone with a degree>> (wikihow : 2012) Est-ce à dire que ceux qui ne vont pas jusqu’à faire un doctorat ne sont pas crédibles et donc que leurs observations sont erronées? Selon les standards du Columbia College, à New York, pour qu’une source soit fiable elle devrait être reliée à une Université (soit y avoir étudié ou y avoir enseigné). (Columbia College : 2012) Comment savoir si la source est fiable ou non? Car comme j’en ai fait mention, la connaissance c’est le peuple qui l’a, pas les livres. C’est l’humain qui donne l’information aux livres, qui nous servent ensuite de référence.

 

Alors d’un côté c’est un fait que le site Wikipédia n’est pas toujours une bonne source vu son manque de référence et du fait que beaucoup de gens y écrivent à peu près n’importe quoi. Par contre, ça ne veut pas dire que tout ce qui y est écrit est erroné. C’est donc une bonne source d’appoint.

 

Bibliographie

Columbia College, 2012, <<Evaluating the credibility of your sources>>, (en ligne) URL : https://www.college.columbia.edu/academics/integrity/credibility. (page consultée le 19 octobre 2012)

Wikihow, 2012, << how to evaluate the crdibility of a source>>, (en ligne) URL: http://www.wikihow.com/Evaluate-the-Credibility-of-a-Source. (page consultée le 19 octobre 2012)

 

Essai 1 (E-Commerce)

Amazon est le site de E-Commerce le plus rentable au monde

Depuis l’arrivée d’internet, la définition d’espace-temps à dû être redéfini. Il est aujourd’hui possible d’accomplir plusieurs tâches qui avant l’avènement d’internet, auraient été impossibles. Il est aussi possible de communiquer avec des gens qui se situent à l’autre bout du monde, complètement gratuitement. Plusieurs exemples pourraient nous servir, mais prenons l’E-commerce. Qu’est ce que c’est? C’est le concept réinventé de magasinage. Par le biais de sites Internet, nous pouvons désormais magasiner en ligne, sans même quitter notre domicile. Les compagnies s’occuperont même de faire parvenir à nous tous nos achats via la poste ou par compagnies de transport de colis. Vous connaissez surement E-Bay ou Amazon qui sont les chefs de file dans l’E-commerce (60 milliards de dollars, combinés, en chiffre d’affaires) (Henrad : 2012). Le principe est simple, vous magasinez, vous achetez, vous payez, vous recevez et vous donnez un commentaire selon votre appréciation de l’achat. En quoi tout ça a rapport avec la communication publique?

(Ottaway : 2011)

Prenons tout d’abord le temps de définir qu’est-ce qu’est la communication publique : champs d’étude de la communication de masse dans ces aspects théoriques aussi bien que pratiques et en considérant son impact sur les débats et les enjeux sociaux. (cossette : 2006 : p.60) Si on se réfère à la définition, du même auteur, de communication de masse : communication établie par le moyen de médias capables de toucher de très larges audiences. (Cossette : 2006 : p. 59) Alors en quoi le E-commerce joue un rôle dans la communication publique?

Par le biais de ces plateformes, les gens de partout dans le monde peuvent communiquer, peuvent échanger sur des produits qu’ils veulent vendre ou acheter. Ce sont des plateformes qui rejoignent des millions de personnes. Prenons Amazon qui donne la possibilité d’échanger sur la qualité d’un produit après l’avoir acheté. Tous les acheteurs éventuels peuvent prendre connaissance de ces commentaires et juger si le produit leur convient. Aussi, lorsque vous planifiez d’acheter un produit, vous devez lire la description sous l’image pour avoir les détails que le vendeur vous communique. Vous pouvez aussi communiquer avec le vendeur pour avoir plus d’information sur le produit. On peut donc déduire que ces sites d’E-commerce sont des outils de communication puisque nous pouvons échanger sur un sujet (le produit que nous voulons acheter ou vendre dans ce cas). C’est un moyen d’éliminer les frontières et les distances. Sans ces plateformes, il nous serait impossible de profiter d’une vente alléchante qui à lieu à Hong Kong si nous habitons à Québec, à moins peut-être de faire un voyage exprès pour se le procurer. Ce qui ne serait plus aussi avantageux. C’est donc un moyen de partager, avec le monde entier, les produits que nous voulons vendre.

Pour un publicitaire ou pour un expert marketing en quoi le E-commerce nous aide? De plus en plus de compagnies lancent une version Internet de leur magasin afin que les gens de partout puissent se procurer leur produit. C’est donc un excellent outil de marketing. On peut rejoindre les gens plus facilement. Supposons que vous êtes seul (e) un dimanche après midi du mois de janvier et qu’il y a une tempête de neige à l’extérieur, mais que vous avez envie de magasiner un beau chandail. Vous ne sortirez surement pas à cette température uniquement pour cela. Vous allez donc aller sur le site Internet de votre compagnie de linge préférée pour magasiner et acheter le chandail de votre choix. En quoi cette expérience a t-elle un lien avec la communication publique? Dites-vous que c’est un excellent moyen de faire des ventes, peu importe la température ou la distance qui vous sépare du magasin. Le E-commerce est la nouvelle façon de magasiner et les entreprises et leurs experts en publicité et marketing utilisent cet outil plus que jamais afin de faire augmenter les ventes.

Personnellement, je suis un grand consommateur et j’utilise énormément le E-commerce je ne crois pas que cela remplacera les magasins traditionnels un jour, mais je crois que beaucoup de déplacement et de temps seront épargné avec les magasins en ligne et que ces sites seront de plus en plus populaire. Pourquoi ce déplacer en magasin et acheter un c.d sur lequel seules trois chansons nous intéressent? Nous allons aller sur un site comme I Tunes pour nous les procurer sans ce déplacer de la maison et en plus, nous allons pouvoir acheter uniquement ces trois chansons et non pas le c.d entier. L’E-commerce permet aux compagnies de mieux comprendre les besoins des consommateurs et ceux-ci via cette plate forme peuvent donner des commentaires sur leur expérience d’achat. C’est une plate forme, qui à mon avis fera avancer la communication non seulement entre entreprise et consommateur, mais entre entreprise et le public en général les <<feedback>> sont accessible à tous sur la qualité d’un produit ou sur le service d’un vendeur. Les sites de E-commerce permettent de faire un <<bouche-à-oreille>> international sur les compagnies et leurs produits.

On peut penser que le E-commerce n’a que des bénéfices, mais ce n’est pas tout à fait le cas. Premièrement, plusieurs compagnies n’ont pas encore parfaitement contrôler l’interface de leur site et rend l’expérience de magasinages complexe et laborieuse ce qui décourage les acheteurs par le fait même. La communication est ainsi brisée puisque le consommateur décide de se diriger vers un autre site Internet pour se procurer son bien. Aussi, le défaut principal du E-commerce est que les clients doivent attendre avant de recevoir leur commande ce qui restreint parfois l’utilisation puisque certains produits sont nécessaires immédiatement. Les sites de E-commerce présentent aussi un problème de langue et de compatibilité dans certains pays. Le fait que ces sites soient d’envergure internationale fait que parfois certains produits que nous voulons nous procurer ne seront pas compatibles dans notre région. Prenons les films en format dvd qui ont des codecs différents pour chaque continent. On peut relier ce problème au même que celui des médias traditionnels. Lorsque nous regardons un vidéo, un bulletin de nouvelles, etc. qui proviennent d’un autre pays, nous retrouvons encore une fois le problème de la langue. Évidemment, il y a des outils de traduction, mais ceux-ci ne sont pas toujours efficaces.

Les avantages sont par contre plus nombreux. Comme j’ai mentionné, ces sites nous permettent de vendre des produits que l’on veut se débarrasser, et ce un peu partout dans le monde. Ils nous permettent de faire connaître notre entreprise à tous. Par contre, si notre service aux clients et mauvais, il et évident qu’il y aura des répercussions négatives sur notre entreprise, car majeure partie des sites d’E-commerce mettent à la disposition des clients un outil de <<feedback>> qui permet de mieux communiquer entre client et vendeur (service après-vente). <<Le E-commerce permet une meilleure interactivité entre les compagnies et les acheteurs>> (traduction libre) (Zwass : 1996 : p.3) En effet, car ce sont souvent les têtes dirigeantes (des experts en relations publiques d’entreprises) qui prennent en compte les commentaires émis après les achats. Pourquoi les commentaires faits par les acheteurs sur Internet sont-ils plus importants que ceux en magasins? Parce que tous les prochains acheteurs ou visiteurs du commerce en ligne peuvent voir le commentaire et que celui-ci influencera indéniablement la décision d’achat. Bien sûr le <<bouche à oreille>> pour les magasins physiques peut faire autant de ravage, mais peut-être moins à l’échelle internationale.

(Isaac, Volle : 2009) Ce graphique ne tient pas compte du commerce en ligne de client à client seulement entreprise à client.

Le E-commerce est en plein développement et il ne serait pas surprenant de voir arriver de nouvelles inventions pour peaufiner cette méthode d’achat actuelle. Cette technique qui a vu le jour en même temps que l’arrivée du web 2.0 se transformera probablement au même rythme que tous les outils Internet. Peut-être verrons-nous apparaître, un jour, une nouvelle technologie qui téléportera les objets que nous achèterons en ligne jusqu’à nous, rendant plus rapide le processus d’achat sur Internet. C’est une piste envisageable, mais encore faut-il inventer cette technologie. D’après vous quel est le futur du E-commerce? Comment les compagnies pourront réinventer ces sites pour que la communication soit encore meilleure?

bibliographie

Cossette. Claude, La publicité de A à Z dictionnaire technique français-anglais, Québec, Presse de l’Université Laval, 2006, 287p.

Henrad, Magali, 2012, << Quel géant du web est le plus rentable?>>, (en ligne) URL : http://www.references.be/carriere/quel-geant-du-web-est-le-plus-rentable (page consultée le 10 octobre 2012)

Isaac. Henry, Volle. Pierre, 2009, <<Où en est le e-commerce aux États Unis?>>, (en ligne) URL : http://www.livre-ecommerce.fr/ressources/exemples_livre_ecommerce/files/e_commerce_aux_USA.html. (page consultée le 10 octobre 2012)

Ottaway. Madeline, What is E-Commerce, (en ligne), 2011, 4m. 52s., coul.

Zwass, Vladimir, << Electronic Commerce : Structures and Issues>>, International journal of electronic commerce, (en ligne) vol:1, No:1, (automne 1996), 23p.

Billet 2 semaine 4

Cette semaine je vous parle de ma prise de conscience de l’internationalité des médias. Entre autres de la télévision. La première fois que je me suis rendu compte de la brisure des barrières qui séparaient les continents par le biais des médias c’est lors de l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center. En 2001 je commençais ma sixième année du primaire et j’avais 12 ans.

La cloche de l’école sonne et nous nous en allons sur notre heure de diner. Avant de sortir de la classe notre professeur nous arrête et nous dit : << vous regarderai les nouvelles à la télé ce midi. Il s’est passé quelque chose d’incroyable ce matin>>. Rendu à mon domicile j’ouvre la télévision et je me rends compte, bien qu’à cet âge je n’avais jamais entendu parler de ce gratte-ciel de ma vie, qu’un immense immeuble situé à New York c’était effondré suite à un impact créé par un avion. Peut importe le poste que je visionnais, je n’avais que les postes traditionnels à cette époque, on présentait un bulletin spécial avec les images qui étaient disponibles, souvent les mêmes, d’une immense tour qui s’effondrait et des gens qui se lançaient en bas de ces gratte-ciels en feu.

C’est à ce moment précis que j’ai compris à quel point les médias, la télévision entre autres, étaient internationaux. Partout dans le monde on présentait ces images terribles. Je me disais à ce moment, que probablement d’autres enfants au Japon, en Australie, au Mexique, étaient assis sur leur sofa à regarder ces images eux aussi. Le lendemain tous les journaux présentaient ces images à la une et avaient un article consacré à cette tragédie. À part peut-être le Journal de Québec qui présentait des images de la défaite du Canadien de Montréal, la veille, tous les journaux parlaient en leur une de l’effondrement du World Trade Center . Blague à part, il est indéniable que cet évènement m’a ouvert les yeux. Il est fini le temps où l’anonymat d’une catastrophe ou d’un acte aussi horrible passe inaperçu aux yeux des habitants de la terre. Est-ce un mal que cette hyper-médiatisation des évènements et des images reliés à ces tragédies où l’on voit des victimes et des familles anéanties? On peut se poser la question, mais il n’en reste pas moins que cet ensemble de médias nous rend plus proche les uns les autres, lorsque nous sommes témoins de ce genre d’évènement, peu importe quelles sont nos origines, nos croyances ou notre nationalité.

Voici un extrait d’un Texte écrit par André Gunthert le 7 septembre 2011, 10 ans après les attentats du 11 septembre 2001. André Gunthert (né en 1961) est maître de conférence à l’École des Hautes Études en Science Sociale (EHESS), où il dirige le Laboratoire d’histoire visuelle contemporaine. (Wikipedia : 2012)

<<Il faut un haut niveau de technicité et de professionalisme pour conférer une forme cohérente à cette improvisation en temps réel, qui donne à chaque téléspectateur l’impression de partager l’événement au moment même où il se produit, comme s’il était assis dans le fauteuil du présentateur. Tout ce qui va arriver ensuite – encastrement du deuxième avion, saut dans le vide des victimes, effondrement des tours – était bel et bien imprévu : le scénario rêvé d’un crescendo évenementiel devant les caméras va s’accomplir comme un cauchemar.

Autant qu’au piège de feu des tours jumelles, l’Occident a été pris au piège de sa machine médiatique. Impeccablement huilé, le dispositif qui attendait de longue date de croquer le fait divers s’est fait happer par le 11 septembre. Brèche béante dans le temps télévisuel, la Breaking News ne s’arrêtera plus, s’étirant sur plus de 24 heures, rediffusant sans trève, comme le but d’un match de foot, au ralenti, en gros plan, les scènes les plus spectaculaires de la catastrophe, enfonçant pour toujours dans notre imaginaire ces minutes insoutenables.

Autant que les morts, les blessés, les tours effondrées, le spectacle du 11 septembre a participé du traumatisme infligé aux Etats-Unis. Au moment où l’Occident s’apprête à déclencher une nouvelle fois le Replay de la catastrophe, il est utile de se souvenir que cette blessure n’a pas été infligée par un membre d’Al Quaida, mais par notre propre dispositif journalistique.>> (Gunthert : 2011)

Il est donc clair que sans l’appareil médiatique, cette journée qui est maintenant gravée dans l’histoire de l’humanité n’aurait peut-être pas eu le même impact. Nous pourrions même nous poser la question, si ces attentats avaient eu lieu dans une ville où les médias et même les NTIC (nouvelles technologies d’informations et de communications) sont beaucoup moins présents, est-ce que nous en aurions autant entendu parler et cette journée aurait-elle tout de même passé à l’histoire?

Plusieurs images ont faites le tour du monde suite aux attentas du 11 septembre. En voici une assez tristement célèbre

Bibliographie

Gunthert. André, 2011,<< L’oeuvre médiatique du 11 septembre>>, (en ligne) URL:http://owni.fr/2011/09/07/loeuvre-mediatique-du-11-septembre/. (page consultée le 27 septembre 2012)

Auteur Inconnu, 2012,dans la base Wikipedia << André Gunthert>> (en ligne) URL: http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Gunthert. (page consultée le 27 septembre 2012)

Billet 1 (semaine 3)

Les canulars sont extrêmement présents depuis l’avènement de l’Internet est encore plus depuis l’arrivé des réseaux sociaux où n’importe qui peut écrire n’importe quoi sur n’importe qui. Il est certain que l’internet fait la promotion du droit à la liberté d’expression, mais certains usent de ce droit à mauvais escient. Je cite ici un article très intéressant paru dans l’AFP Média Watch, sur les nouveaux médias et leurs effets sur les médias traditionnels. <<jamais les gens n’ont cherché et consommé autant d’informations, mais les professionnels n’ont plus le monopole de la parole. Le public est actif et contribue. Près de 20% du temps passé sur Internet l’est dans les blogs et les réseaux sociaux. Wikipédia est de loin le premier site de news aux États-Unis. YouTube, Facebook, Twitter, qui entend devenir le pouls de la planète, sont devenus des sources, tout comme des milliers d’autres blogs, sites et services. L’origine de l’information compte moins qu’avant. Les marques, en tous cas les anciennes, attirent moins et sont moins importantes aux yeux des jeunes audiences, qui ont les leurs.>> (Scherer : 2009) En résumé, ce n’est plus la source d’où provient l’information qui est important, mais plus le contenu du texte. Cela peut par contre avoir des effets néfastes sur la véracité d’une nouvelle et créer du tort à certaines personnes.

Depuis environ un an, on voit de plus en plus de vedettes mourir. C’est <<le dernier buzz à la mode>> annonce Anne Mounal du Scandaleux magazine.fr. Mais ces personnalités sont-elles vraiment mortes? Nous sommes en droit de nous poser la question. Les médias traditionnels n’en parlent pas encore, mais Facebook à une page << RIP Morgan Freeman>>. Ce n’est pas parce que Roger de St-Tite a décidé de démarrer un groupe Facebook sur la fausse mort d’une vedette que la vedette est nécessairement morte. Aujourd’hui, les gens ne cherchent pas la source de l’information qu’ils reçoivent. L’information se trouve sur Internet, elle doit donc être fondée, mais ce n’est pas toujours vrai.

Le cas de la mort de Morgan Freeman est un bel exemple de canular. Il y a véritablement une page Facebook qui tient plus de 950 000 fans. (Facebook : 2012) Il y est écrit et de façon très sérieuse :<<At about 5 p.m. ET on Thursday, our beloved actor Morgan Freeman passed away due to a artery rupture. Morgan was born on June 1, 1937. He will be missed but not forgotten. Please show your sympathy and condolences by commenting on and liking this page.>> Pourtant si on fait un peu de recherche on se rend compte que Morgan Freeman est toujours en vie et va tenir un rôle important dans un film d’animation de Lego qui sera présenté en février 2014. (Larcher : 2012) Si on fait un peu de recherche hors des médias sociaux et qu’on se tourne vers ces bons vieux médias traditionnels on se rend compte que si la seule source d’information par laquelle on s’informe se limite aux réseaux sociaux, nous aurons très vraisemblablement une carence en information de bonne qualité.
Plusieurs autres canulars du genre ont été faits depuis la dernière année on serait en droit de ce questionner sur la mort du roi de la Pop. Serait-il le précurseur de cette <<mode>> qui vraisemblablement créer un engouement et qui augmente de façon spectaculaire les revenus que peuvent toucher ces vedettes par le biais d’objets promotionnels de toutes sortes? <<La mort a un pouvoir de fascination morbide- c’est le cas de le dire – sur nous, c’est indéniable. À tel point que si l’on regarde les statistiques de ventes de disques et de recherches sur Internet, on se rend compte qu’une personnalité atteint le summum de sa célébrité lorsqu’elle meurt –ou lorsque l’on annonce sa mort.>> (Mounal : 2012)

Voici le lien vers la page Facebook <<RIP Morgan Freeman>>

http://www.facebook.com/RipMorganFreeman

Bibliographie

Facebook, 2012, <<RIP Morgan Freeman>> (en ligne) URL:http://www.facebook.com/RipMorganFreeman. (page consultée le 19 septembre 2012)

Larcher. Jennifer, 2012, <<Morgan Freeman dans Lego, il prête sa voix a Vitruvius>>, 24 matins, (en ligne) URL:http://www.24matins.fr/morgan-freeman-dans-lego-il-prete-sa-voix-a-vitruvius-25385. (Page consultée le 19 septembre 2012)

Mounal, Anne. 2012, <<mourir le dernier buzz à la mode>>, ScandaleuxMag.fr, (en ligne) URL: http://www.lescandaleuxmag.fr/index.php/societe/societe/1364-mourir-le-dernier-buzz-a-la-mode. (page consultée le 19 septembre 2012)

Scherer. Eric, 2009,<< Context is King>>, AFP Media watch,(en ligne) URL:http://blogs.afp.com/mediawatch/?post/2009/11/18/Context-is-King. (page consultée le 19 novembre 2012)

les technologies d’information sont-elles déterminantes dans le développement de nos sociétés?

Dans cette première intervention, il sera question de l’influence des technologies sur le développement de nos sociétés. Il est évident que grâce à l’évolution des moyens de communications et des moyens de transmission de l’information, tout va plus vite aujourd’hui. Les bulletins d’informations se renouvellent à des fréquences beaucoup plus rapides qu’auparavant. Toutes les quinze minutes, les chaînes de nouvelles en continues régénèrent leurs informations. Aussi, la rapidité avec laquelle une information peut parvenir aux gens du monde entier est impressionnante. Lors des attentas du 11 septembre 2001 la chaîne WNYW, une chaîne de télévision locale de New York, diffusait déjà les premières images de fumée s’échappant du World Trade Center seulement deux minutes après l’écrasement du premier avion et deux minutes après, CNN la chaîne de nouvelle continue Nationale diffusait elle aussi des images de la tour nord en fumé.(Wikipedia, 2001)Ces images sont donc parvenues au pays entier à une vitesse fulgurante. Il est d’ailleurs dur d’imaginer qu’un jour cette information pourra nous parvenir encore plus rapidement.(voir la vidéo en annexe sur une idée de ce à quoi pourrais ressembler le futur de l’information selon Senk Group, une compagnie d’Iraq qui construit des routes, mais qui s’investit aussi beaucoup dans les technologies innovatrices.)

La barrière de l’espace et du temps qui restreignait la civilisation avant l’invention de l’imprimerie et maintenant révolue. Les nouvelles technologies se débarrassent de ces contraintes qui ont longtemps été le problème des premières grandes civilisations : << Ces NTIC ont supprimé ou atténué nombre de barrières qui restreignaient l’accès à ces informations, telles que la distance géographique, les contraintes temporelles…>> (Benabid, Grolleau: 2003) Grâce à ces technologies, les informations parviennent à nous, beaucoup plus rapidement qu’auparavant et cela influence notre mode de vie. Internet en est la preuve. Tout le monde, ou presque, a un ordinateur doté d’Internet de nos jours et si ce n’est pas le cas il est presque certain que vous avez un téléphone cellulaire qui est doté d’Internet, ainsi l’information est accessible n’importe où 24 heures par jour : << la plupart des pays, y compris les pays de la cohésion, qui ont un taux de possession d’ordinateurs personnels relativement faible et/ou un accès limité à Internet, ont des taux élevés d’utilisation du téléphone, ce qui ouvre la possibilité d’utiliser les téléphones mobiles pour accéder à Internet dans l’avenir.>>(auteur inconnu : 2003) Prenons pour preuve la société occidentale des années 2000.

De nos jours, nous vivons tout, toujours plus vite que nos ancêtres. Nous nous nourrissons plus vite, nous nous déplaçons plus vite, nous nous informons plus vite et plus régulièrement sur le monde qui nous entoure, nous essayons de faire plus de choses dans une même journée. Tout cela est dû en grande partie aux nouvelles technologies.

Ces nouvelles technologies de l’information, que ce soit la télévision, l’Internet, la radio l’imprimerie ou tout autre média ne nous apporte pas seulement des désavantages. Certes ces technologies saturent notre cerveau d’informations puisque nous avons pour habitude de les consulter chaque jour et que chaque jour des milliers de nouvelles informations y sont diffusées, mais il reste que ces technologies sont tout de même profitable à certains points de vue. Par exemple, lorsqu’il y a une catastrophe que ce soit naturelle ou comme lors des attentats du 11 septembre, tout le monde en est informé et très rapidement. Cela peut même sauver des vies. Un rappel de produit qui peut causer la mort et qui est diffusé sur toutes les chaînes de télévision, dans tous les journaux et toutes les stations radiophoniques en plus d’être diffusé sur l’Internet risque d’être plus efficace que si cette information nous est acheminée par la poste ou par un informateur à cheval.

Il y a donc à mon avis plus de points en faveur de cette évolution des technologies de l’information que de point qui vont contre. Il y a bien sûr des désavantages à cela, mais pour les bénéfices que nous procurent ces technologies je ne serais pas prêt à revenir en arrière et me passer de ces outils d’informations. De votre côté pensez-vous que vous pourriez passer un mois sans un téléphone, sans Internet et si la télévision n’existait pas, que feriez-vous?

Bibliographie

Auteur Inconnu, 2001, dans la base Wikipédia, <<Timeline for the day of septembre 11 attack>>, (En ligne) URL: http://en.wikipedia.org/wiki/Timeline_for_the_day_of_the_September_11_attacks. (Page consultée le 12 septembre 2012).

Auteur Inconnu, 2003, << Les nouvelles technologies de l’information et de la communication>>, (En ligne) URL: ec.europa.eu/regional_policy/sources/docoffic/…/pdf/p147_fr.pdf (document consulté le 12 septembre 2012)

Benabid. Sandoss, Grolleau. Gilles, <<Les nouvelles technologies de l’information et de la communication : un instrument potentiel au service de l’économie sociale ?>>,(en ligne) URL :http://www.cairn.info/revue-innovations-2003-1-page-139.htm (Page consultée le 12 novembre 2012).

Senk group, future vison of information technology and our life style, (en ligne) Iraq, 2011, 5min. 49 sec..

Hello!

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis étudiant en communication publique à l’Université Laval, j’en suis à ma deuxième année d’étude. Je fini mon Baccalauréat en communication publique d’ici peu afin de devenir publicitaire.

Je me suis inscrit au cours communication et changement technologique dans lequel nous devons présenter un blog que voici!

Tout au long de la sessions je présenterai des textes dans ce blog.

Je vous souhaite une bonne lecture!